
L’Echo du Roussillon, porté parPierre Ginabat, ancien directeur administratif et financier du quotidien L’Indépendant, a fait autant couler d'encre que de salive, a énervé sa concurrence directe qui prétend que "même pas mal" est enfin sorti dans les kiosques.Une équipe de jeunes journalistes fait tourner la boutique, toute la semaine sauf le dimanche. Des signatures plus connues comme celle de Marie-Pierre Baux (un papier sur la mort du réalisateur Alain Resnais) et des tribunes de personnages locaux à venir. L'arrivée de ce quotidien met un peu d'air frais dans une presse locale à coté de laquelle le ronron du chat passerait pour un soupir... Le journal se positionne sur l'économie, ce qui pourrait paraître paradoxal dans un pays dont l'économie après avoir été sinistre, est sinistrée. Son directeur de publication croit d'autant à l'économie qu'il croit à l'université de Perpignan en tant qu'outil de développement. Entretien